mardi 30 septembre 2008

J'ai trouvé un Coach !

Parmi les bonnes résolutions de la rentrée, j'ai décidé de me mettre à la musculation. Mon objectif est de faire du renforcement pendant l'hiver, dans l'espoir de gagner en puissance et être prêt pour la Hutchinson 2009.
Hier soir, j'ai donc réalisé ma deuxième séance (a peine remis des courbatures de mercredi dernier) où j'ai pu être encadré par un pratiquant de choix : Alain.
Egalement cycliste, il roule plus de 10000 kms par an et participe régulièrement à l'étape du tour. Il m'a initié aux différents appareils dédiés aux jambes (quadriceps, mollets, etc...) et abdos. Nous aurons aussi certainement l'occasion de rouler ensemble avec ses partenaires de Bou (commune à proximité de chez moi).

La motivation est là ! Esperons que les resulats suivront....

mardi 23 septembre 2008

Velotaff du matin



Voici les courbes de mon trajet typique du matin. Distant d'un peu moins de 30 km, je le pratique entre 1 et 2 fois par semaine, à jeun, en empruntant principalement la levée de la Loire. Ce matin, je ne me suis pas fié aux zones cardiaques, roulant 'au feeling...'.

Pour les connaisseurs, cet exercice représente un indice d'effort Polar de 154 et environ 750 Kcal.

samedi 20 septembre 2008

Sortie en forêt d'Orleans

Après avoir gouté ensemble à la Sologne, Aurélie et moi avons programmé une petite sortie coté nord, en limite de forêt d'Orléans. Il fait encore assez frais ce matin (9°). Nous nous habillons donc chaudement et partons en milieu de matinée :


En fin de parcours, il est presque midi et la température a énormément monté. Nous voici maintenant sous 24° avec nos vetement d'hivers. Aurélie progresse et passe la barre des 40 kms de distance, finissant moins fatiguée et améliorant sa moyenne.

Courbes du Polar :

mardi 16 septembre 2008

SportsTracker, un remplacant à Polar Pro Trainer ?

Étant cycliste mais aussi informaticien, c'est en étudiant le kit de développement de Polar que je suis tombé sur une petite application qui a retenu mon attention.

Adepte du Java depuis 1997, j'ai été séduit par le logiciel SportsTracker qui permet d'organiser les fichiers issus des produits Polar (entre autre) et de les visualiser à la manière de Polar Pro Trainer. Du point de vue logiciel, SportsTracker se rapproche des outils que j'ai l'habitude de développer : client Swing, bibliotheque SwingX, scripting groovy, graphiques via JFreeChart.

J'ai donc essayé, via la version déployable via Java WebStart, d'intégrer le fichier HRM de la sortie de dimanche matin :

vue calendrier

résumé d'exercice

courbes de l'exercice (FC, vitesse, altitude)

L'exploitation des fichiers HRTM provenant du CS600 semble poser problèmes pour certains parametres de l'exercice (vitesse moyenne erronée par exemple). Le fichier de hier matin n'a même pas pu etre intégré... Cependant les sources du logiciel étant disponibles, il n'est pas difficile de modifier le script groovy responsable de l'importation des fichiers.

Au final, le logiciel est moins complet que Pro Trainer. Il ne permet pas de communiquer avec le compteur, offre moins de paramètres d'exploitation des exercices et ne permet pas de programmer des exercices à télécharger. Il offre cependant un petit module de statistiques et l'avantage d'etre gratuit. Il peut être utile avec certains ordinateur sur lesquels Pro Trainer pose de sérieux problèmes d'utilisation (rafraichissement intempestifs de la fenêtre...)

dimanche 14 septembre 2008

Première sortie en couple

Ce dimanche matin est assez frais pour la saison (15° au départ) mais nous trouvons le courage pour partir tout de même faire quelques bornes avec nos 2 vélos de routes. Aurélie ayant hérité de mon bon vieux Polar CS200, je vais pouvoir profiter de cette sortie pour étrenner le CS600 flambant neuf ! Au programme une quarantaine de bornes en passant en sologne.

Bilan : la selle de madame est maintenant convenablement réglée, elle semble bien épuisée après ses 37 kms réalisés à ~18 de moyenne. Elle a encore beaucoup de chemin à parcourir mais la motivation semble là !

Tracé de la sortie :


J'en profite aussi pour comparer le profil altimétrique calculé par GPSVisualizer avec celui
enregistré par le polar CS600 :
diag 1 : www.gpsvisualizer.com

diag 2. Polar pro trainer


Le polar semble plus précis et propose l'immense avantage d'afficher en temps réel la pente pendant la sortie avec une précision et réactivité assez plaisante.

mercredi 10 septembre 2008

Ma femme a craqué....

... pour ce superbe Giant SCR 3W !



Nous en discutions depuis quelques temps et nous avons profité d'une liquidation totale des stocks dans un grand magasin de vélos pour dénicher ce vélo femme en taille XS (pile poil ce qu'il fallait pour son petit mètre 56 de haut). Maintenant nous avons tout ce qu'il faut pour faire de belles sorties sportives sur les bords de Loire, en foret d'Orléans ou en Sologne.

Pour un peu plus de 500€, ce modèle a de quoi séduire : équipé shimano sora/tiagra, cadre aluminium, fourche carbone, selle & cintre adaptés à la morphologie féminine. Les roues semblent un peu en retrait, avec un peu trop de souplesse latérale. Les freins TEKTRO manquent aussi un peu de mordant. Ce vélo devrait très largement suffire à l'initiation au cyclosport et permet de bonnes évolutions.

Quelques photos supplémentaires ici.

A bientôt pour le compte rendu de la première sortie.

mercredi 3 septembre 2008

Le Galibier... enfin !

Mardi 2 septembre.

Cela fait aujourd’hui 3 jours que nous somme arrivés à Valloire (1428m), dans les Alpes, aux pied du Galibier. Jusqu’à présent, nous avons profité de nos premières journées de vacances annuelles pour mener quelques randonnées pédestre autour du village. Hier, nous avons marché environ 3 heures en partant de Poingt Ravier (1644m), faisant étape aux Solèdes (1888m), pour un dénivelé d’environ 600m+. La météo annonce un début de semaine à l’ensoleillement mitigé, une belle journée le mardi, et un ciel se couvrant progressivement sur la fin de semaine.

J’inscris donc mon 2ème objectif annuel à la date de ce jour : la fameuse montée du col du Galibier.

Le samedi après-midi, arrivé au terme de notre voyage jusqu’à Valloire, nous avions déjà pu évaluer la difficulté des cols alpins en montant le col de télégraphe en voiture. Le régime moteur du scenic ainsi que sa température exceptionnellement élévée n’auguraient rien de bon concernant les difficultés à venir. Il faut dire que le relief n’a évidemment rien à voir avec les monts des Flandres, les montées du Morvan, ou bien encore la fabuleuse et unique ‘montée du père Blot’ de Vienne-en-val !

9H30. Le réveil vient de nous réveiller déjà à trois reprisés. Je décide de ne pas partir trop tôt, l’objectif étant simplement d’effectuer la montée et descente du col avant de déjeuner.
C’est avec joie et soulagement que je constate que le ciel est dégagé et que le soleil caresse déjà d’une lumière vive les parois abruptes des montagnes encerclant le village. Une fois le café, le pain au chocolat et les tartines beurrées à la confiture de myrtille avalées, je consulte une dernière fois la carte IGN pour évaluer les principales difficultés. Finalement, le mieux est de ne pas y penser et de se laisser guider par la route. Au moins cette fois ci le parcours sera court et facile à suivre : pas besoin de m’arrêter tous les 10 kms comme dans le Morvan pour consulter ma carte.

J’enfile ma combinaison, glisse quelques tubes énergétiques dans mes poches ainsi qu’une de ces excellentes barres au nougat. Ayant oublié mon coupe-vent à la maison, j’ajoute un sous vêtement thermique, les manchettes. Aurélie me retrouvera en haut du col pour me fournir un imperméable. Je récupère le Time qui doit m’en vouloir un peu d’être resté ces quelques jours à l’ombre, avec tous ces nombreux cols à proximité. « Désolé mon vieux, le raid alpin sera pour une autre fois. Peut-être avec Vincent, mon ami et compagnon de route, si l’année prochaine se montre plus propice à un bon entraînement. »

Avec un air de déjà-vu, à peine la cale droite enclenchée dans le pédale, je m’aperçois avoir une fois de plus oublié une pièce d’équipement. Cette fois ce sont les gants. « Damned ! » Au même moment je vois un cyclo, chevauchant lui aussi un Time, monter devant moi la longue rampe quittant Valloire direction Plan Lachat. Quelques minutes plus tard, enfin équipé de mes gants, je m’élance à mon tour vers une des plus grandes légendes du tour de France. C’est parti !

Sans être particulièrement difficile, la sortie de Valloire est tout de même surprenante. Je débute la montée au niveau du panneau annonçant les 17 kms de montée, avec une pente débutant entre 5 et 7%. Je décide de commencer prudemment en choisissant le 34x19. Aurélie ne perd pas de temps pour me dépasser en voiture, m’envoyant en baiser d’encouragement. Je pense que je la retrouverai avant le sommet. Le cardio m’indique 85%. Le but est bien entendu de ne pas se mettre dans le rouge trop rapidement et de rester impérativement sous les 95%, mon seuil se situant actuellement autour des 90%. Les 2 premiers kilomètres se montent tranquillement, entre 15 et 17 km/h. Je ne tarde pas à apercevoir le « cyclo au Time » peu après les Verneys. Je devine que ce n’est pas, contrairement à moi, son premier col, et décide d’emprunter son allure. Je reste donc quelques mètres derrière sa roue, juste assez près pour rentrer dans le cadre du premier cliché que réalise Aurélie, cachée sur le bord de la route.

Les sensations sont toujours bonnes. Le contraire serait alarmant. En partant depuis Valloire et ne réalisant ‘que’ la montée du Galibier, j’ai choisi une des options les plus faciles. Nombre de cyclosportifs partent du bas de la vallée de la Maurienne, empruntant le col du télégraphe pour arriver à Valloire. La succession des deux cols constitue une des plus difficiles ascensions de la région. Cependant, l’objectif n’est pas de revenir exténué à l’appartement, hypothéquant de ce fait la suite de nos randonnées et autres sorties en couple.

Arrivé à « La Ravine », environ 5 kms après le départ, mon collègue en Time décide de s’arrêter. Je continue seul l’aventure, ne pouvant m’empêcher de relancer un peu l’allure et faire monter un peu le cœur. Cette portion n’est pas vraiment difficile. Aux dires des nombreux articles, blog ou autres post sur les forums de Velo101, je suis conscient que les véritables difficultés commencent après Plan Lachat. Par contre, j’avoue avoir beaucoup de mal à évaluer les épreuves qui m’attendent. La montée du col n’est certes pas facile, mais la longueur de la montée ainsi que la pente flirtant avec les 5 et 7% permettent de gérer son effort beaucoup plus facilement que ce que j’ai pu expérimenter par exemple dans le Morvan avec la montée de Plainefas. Ceci-ci dit, je n’ai pas à ce moment du parcours 80 kms dans les jambes…


Au niveau des « Etroits », des travaux de voirie m’obligent à effectuer mon premier arrêt. Attendant patiemment le basculement du feu, j’en profite pour m’hydrater un peu et profiter des paysages alentours. Le massif est vraiment impressionnant. Avec ce ciel parfaitement dégagé, le soleil dessine les ombres de chaque roche surplombant la route.

J’aperçois enfin au loin les quelques habitations de Plan Lachat. Beaucoup de véhicules sont garés au niveau du parking. Nous aussi, si le temps le permet, tacherons d’effectuer la randonnée des trois lacs débutant à cet endroit. Pour l’heure, le scenic est garé à mon attention, Aurélie se cachant à nouveau derrière l’objectif du Nikon pour immortaliser ce moment. Cette fois, je m’arrête pour partager les premières impressions et avaler un tube énergétique avant la véritable montée. Je tourne la tête pour porter mon regard sur les premiers lacets de la montée. Je crois deviner quelques cyclos qui avancent, tels des fourmis multicolores, le long de la paroi abrupte. D’ici le dénivelé ne triche pas et je me surprends à demander comment des vélos peuvent rivaliser avec des véhicules motorisés dans de telles conditions !

Afin de me rassurer, je consulte mon compteur qui m’indique moins de 10 kms de montée. « Je peux le faire ! Ce n’est pas une course ! Prends ton temps et gère ton effort ! ». Ces quelques pensées me portent lorsque je m’élance à l’assaut du premier lacet sur le 34x25.

Pour l’instant, la montée se passe bien. Le cardio passe de 58 à 90% en quelques dizaines de mètres. Je tente de calmer mon rythme cardiaque en forçant une allure avoisinant les 12 kms/h. Mais cela ne suffit pas. Une fois les 3 épingles passées, mon cœur est déjà à 95% et le souffle est court. Je tente de passer sous la barre des 10 km/h mais les jambes ne sont pas habituées à une cadence aussi basse. Je passe un cyclo qui reprend sa route dans la ligne droite devançant « Le Gros Crêt ». Avec sa soixantaine d’années, il monte le col sur le 39 et force le respect. Je le salue à sa hauteur puis emprunte un long virage aveugle pour entrevoir devant moi une autre scène étonnante. Deux randonneurs en VTC montent le col avec sacs à dos, sacoches et autres bagages en zigzaguant sur la route. J’avais presque honte d’affronter le Galibier avec mes 62 kg et les quelques 8.5 kg de ma machine. Je les rejoins et les salue avec respect. Nous sommes à 4 kilomètres du sommet, et c’est le souffle court, le cœur battant la chamade, que je m’arrête quelques instants pour récupérer.

Au détour d’un long lacet, je devine au loin Aurélie, avec son pull rose, assise sur des rochers. Elle m’attend au niveau des Granges du Galibier. Sa présence me motive et je gravis avec entrain les derniers mètres qui nous séparent. Je suis essoufflé, mais une fois de plus le cœur redescend très rapidement. Ma petite femme m’indique qu’ici on peut acheter du bon fromage de montagne (dont du Beaufort). Je lui laisse le soin de nous ramener quelques uns de meilleurs morceaux. Nous regardons ensemble les quelques lacets dernière nous. La vue est superbe et je ne peux m’empêcher de chercher du regard les quelques cyclos que j’ai dépassés, en vain… 12.8 km/h de moyenne. Pas si mal pour un premier col. Mais le plus dur est encore à venir, juste après le passage devant le tunnel du Galibier.

C’est au niveau des derniers lacets annonçant le tunnel qu’une pancarte indiquait la présence de griffephotos. Il s’agit d’une pratique assez courante lors de l’ascension de cols (mont Ventoux, entre autre). Un photographe immortalise sur le vif votre ‘exploit’ et vous fournit une carte avec l’adresse internet de son studio ainsi que la référence des clichés. Je me prête au jeu et me lève sur les pédales face à l’objectif. Aurélie, qui m’attendait non loin du photographe, m’envoie les derniers encouragement qui m’accompagneront jusqu’au sommet.

Je tourne la tête sur ma droite, histoire d’observer le tunnel du Galibier. Seul point de passage du col assez large pour accueillir des véhicules entre 1886 et 1976, un autre itinéraire est maintenant empruntable par les cyclos via quelques lacets impitoyables. Je prends donc le virage sur la gauche, accueilli par un bitume en excellent état.

La pente donne le tournis et j’emprunte ici les pourcentages les plus élevés de l’ascension. Il me reste encore 1km avant d’être enfin au somment. Les jambes sont lourdes et j’ose à peine regarder le bord de la route pour mesurer la difficulté de la pente. Une voiture avale ces dernières centaines de mètres, le moteur poussant un dernier hurlement de douleur avant de disparaître derrière la paroi rocheuse du dernier lacet. Je passe à mon tour ce dernier virage, avec enfin en ligne de mire le sommet ou sont déjà attroupé de multiples touristes et quelques cyclos. A la vue de ma moitié, je relance sur les 100 derniers mètres, enfin près du but.

C’est avec le souffle coupé par l’effort et l’altitude (2642 m) que je dépose le vélo sur une barrière en bois, en haut du col, avant de pouvoir enfin embrasser celle qui m’a encouragé le long de l’ascension. Nous trouvons au sommet quelques motards, voitures de touristes, mais aussi deux cyclos très fiers, eux aussi, de leur ascension. Un fils, de 15 ans environs, et son père en VTT. Le jeune garçon a réussi l’ascension sur un vélo junior, triple plateau, avec le maillot de la Time Megève sur les épaules. Chapeau à tous les deux pour avoir relevé le défi.

Verdict du polar : 1 heure 24 minutes depuis Valloire. Soit 12.21 km/h pour venir à bout des 17.1 km du col. Je ne sais pas trop comment je me place face à la moyenne des cyclos mais je ne partais de toute manière pas pour faire un chrono. Après quelques photos, j’ai déjà bien récupéré et dois déjà me lancer dans une autre aventure inconnue : la descente de col.

Mon ami Vincent prendrait ici bien du plaisir : vitesse, trajectoire, freinage… Pour ma part, je décide de descendre prudemment, quitte à devoir changer de patins de freins une fois revenu ‘à s’baraque’. J’ai cru lire dans un dossier que les campa centaur étaient d’excellents freins. Je vais donc saisir cette opportunité pour les tester.

La route défile sous mes pieds et les rayons des mes Zonda commencent à siffler dans le vent. Je dois avouer que la descente est assez grisante. Sur ma gauche, j’aperçois d’autre cyclistes qui peinent dans la montée, me rappelant les durs moments que j’ai vécus quelques minutes plus tôt. Je les encourage d’un petit signe de tête et relance avant le prochain virage. Cependant, je tente de ne pas dépasser les 60 km/h. La route n’est pas fermée, ni sécurisée. Certes le revêtement est de bonne qualité mais j’ai encore du mal à apprécier la distance de freinage sur de tels pourcentages.

L’arrivée à Plan Lachat annonce la fin des mes crispations, et je peux enfin lâcher les watts sur la route dorénavant beaucoup moins sinueuses mais aussi moins pentue.

Je traverse les travaux, le pont de La Rivine pour aboutir à cette rampe en sortie de Valloire, ici très roulante et rapide. Un dernier petit sprint ‘pour le fun’ et me voici déjà arrivé à destination. La descente a été très rapide et n’a pas suffit pour faire sensiblement remonter la moyenne. 18 km/h pour 34 kms. Cela faisait bien longtemps que je n’avais autant peiné pour réaliser cette distance !


Ca y est ! Objectif atteint ! J’avais choisi le Galibier comme premier col… Quel luxe ! Je ne sais pas si je remonterai sur le vélo pendant notre séjour mais je suis déjà très fier et heureux d’être venu a bout ce col mythique. Au terme de ce périple, j’ai une pensée pour mes parents qui m’ont fait découvrir le vélo, mes amis qui partagent cette passion (sur la selle ou bien au bureau), mon beau père que je fais souffrir le week-end sur les cols du val de Loire ( !) et bien entendue ma femme, qui me supporte et m’encourage dans cette folie.